LUC ANTONINI
L’ORGUE DE BACH
- Temple protestant de la rue Maguelone
- Montpellier
- Entrée Libre - Réservation en ligne à partir du 1er juin
L’œuvre pour orgue de Jean-Sébastien Bach, comme les sonates ou les quatuors de Beethoven, est un monument auquel, les organistes reviennent sans cesse, tant il y a là des merveilles de construction formelle et de technique transcendée par l’esprit.
LE PROGRAMME
JOHANN SEBASTIAN BACH
Toccata et fugue en ré mineur BWV 538 « Dorienne »
Sonate en trio n° 2 en ut mineur BWV 526
Sei gegrüßet, Jesu gütig, choral partita BWV 768
Trois chorals :
1. Erbarm’ dich mein, O Herre Gott BWV 721
(« Aie pitié de moi, Ô Seigneur »)
2. Herr Jesu Christ, dich zu uns wend BWV 72
(« Seigneur Jésus-Christ, tourne-toi vers nous »)
3. Herzlich tut mich verlangen BWV 727
(« Ardemment j’aspire à une fin heureuse »)
Fantaisie et fugue en sol mineur BWV 542
LES ARTISTES
LUC ANTONINI, orgue.
L’œuvre pour orgue de Jean-Sébastien Bach, comme les sonates ou les quatuors de Beethoven, est un monument auquel les organistes reviennent sans cesse, tant il y a là des merveilles de construction formelle et de technique transcendée par l’esprit. Héritier de Frescobaldi, de Lebègue et de Buxtehude, Bach fut organiste lui-même (à Arnstadt, à Mühlhausen, à Weimar, où il composa l’essentiel de ses œuvres pour l’instrument). Il a aussi fait son miel de la musique italienne, notamment celle de Vivaldi, et toutes ces influences, associées à son génie propre, nous valent une série de Chorals, Préludes et fugues, Toccatas et fugues et autres Fantaisies et fugues, mais aussi des œuvres profanes (Sonates en trio, Concertos). Comme l’écrit Gilles Cantagrel : « Tôt apprivoisé, [l’orgue,] cet instrument polyphonique par excellence, il l’a fait sien, partie intégrante de lui-même et, comme à l’écrivain sa plume, expression naturelle de la plus spontanée de ses pensées. »
MÉDIAS
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