Trio George Sand

BIOGRAPHIE

© Lyodoh Kaneko

Trio George Sand, piano, violon et violoncelle

Le Trio George Sand, composé de la violoniste Virginie Buscail, de la violoncelliste Diana Ligeti et de la pianiste Anne-Lise Gastaldi a un répertoire qui couvre 250 ans de musique, de Mozart à Noriko Baba, Michael Jarrell, Mauro Lanza ou Gérard Pesson qui ont spécifiquement écrit pour le Trio.
Sa discographie a été récompensée à diverses reprises, notamment de ffff dans Télérama ou de 5 diapasons.

Trio George Sand aime établir des ponts entre littérature et musique, en partageant la scène avec des partenaires telles que Marianne Denicourt, Anny Duperey, Lambert Wilson, et des artistes de la Comédie Française comme Loïc Corbery, Clément Hervieu-Léger ou Didier Sandre.

Le trio a, depuis 2016, créé son propre label pour produire des disques avec des personnalités de différents horizons telles l’académicien Dominique Fernandez (CD Bazille peintre), Marina Mahler, petite-fille du compositeur (CD Mahler intime, choix France-Musique), les street artistes La rouille, Levalet et Madame (CD Ecrits dans une sorte de langue étrangère, choix France-Musique).

Très présent sur les ondes de Radio-France (France Inter, France Musique, Radio Classique …), on retrouve aussi les 3 musiciennes dans des reportages télévisés diffusés sur France 2, France 3 et LCI.

Virginie Buscail est actuellement violon solo l’orchestre Philharmonique de Radio France. Elle joue un violon de Domenico Montagnana de 1729.
La violoncelliste Diana Ligeti est professeur au CNSMD de Paris, au CRR de Rueil-Malmaison et, depuis 2018, directrice artistique des Ecoles d’art américaines de Fontainebleau.
Anne-Lise Gastaldi enseigne le piano au CNSMD de Lyon et au CRR de Paris, la pédagogie au CNSMD de Paris. Elle est la directrice artistique des Journées Musicales Marcel Proust, du festival ClassicaVal de Val d’Isère.

Altiste française formée notamment au CNSMD de Paris, à la Hochschule de Munich et à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, Violaine Despeyroux a remporté le 1er prix à l’unanimité du Concours National des Jeunes Altistes et le 2ème prix et le prix de la meilleure interprétation de l’œuvre de Bach au Concours International d’alto Cecil Aronowitz, à Birmingham.
Elle joue dans de nombreux festival (Festival de Pâques, le Festival Radio France in Montpellier ou les Folle journée de Nantes) et de prestigieuses salles européennes et internationales — comme le Victoria Hall de Genève, le Seiji Ozawa Hall à Tanglewood (Etats-Unis), le théâtre des Champs-Elysées à Paris ou au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles — aux côtés de partenaires de renom comme Renaud Capuçon, Pierre Fouchenneret, Gary Hoffman, Claire Désert, d’Alexandre Kantorow, Suyoen Kim ainsi que du Quatuor Modigliani …
Membre du quatuor Ludwig, cette artiste singulière aime aussi à être là où on ne l’attend pas et sortir des sentiers battus : rien d’étonnant qu’on la retrouve dans de nombreux projets avec le Trio George Sand avec lequel elle partage le goût des projets originaux qui font dialoguer les arts (« Mahler intime », « Le voyage imaginaire de Mozart au Japon »).
Soliste très recherchée, elle est également régulièrement invitée au sein de l’orchestre par de grands ensembles comme l’orchestre de l’Opéra national de Paris, l’Orchestre de Paris, la WDR de Cologne ou le Kölner Kammerorchester.
Elle joue un alto Jacquot de 1863.

Née à Tokyo, Mieko Miyazaki débute le koto auprès de Tomizo Huruya et Sachiko Tamura. Admise au sein de la Tokyo National University of Fine Art and Music, sa formation est couronnée par une invitation à se produire en soliste en présence du couple impérial du Japon.
Choisie par la Japan Foundation pour représenter le Japon lors de manifestations culturelles internationales, ses concerts en Asie, en Europe, et aux Etats-Unis, la consacrent comme concertiste de premier plan.
Son œuvre « The Current » est considérée par les spécialistes du Hogaku Journal comme l’une des 30 plus belles compositions de tous les temps pour le koto.
En 2005, elle s’installe en France, et sa carrière prend alors une dimension mondiale. Mieko se produit régulièrement en solo et collabore à de très nombreux projets avec des maîtres du Jazz, Nguyên Lê, Michel Benita et Dominique Cravic, Carlotta Ikeda, la célèbre danseuse du Butô et de nombreux orchestres et ensembles de chambre. La rencontre magique avec les voix corses de Voce Ventu donne naissance à l’album « Tessi Tessi (Daqui/Harmonia Mundi) » et au documentaire « Quand les îles se rencontrent ».
Dans le but de faire découvrir son instrument et la musique japonaise, elle participe à « The Voice » sur TF1, « La boite à musique » de Jean-François Zygel sur France 2 et de nombreuses émissions sur France Musique.
Après 17 ans de recherche et de réflexion, elle réalise en 2020 et en première mondiale la transcription des « Variations Goldberg » de Bach pour koto solo.

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