Depuis 30 ans, Jen­nifer Car­di­ni, artiste d’o­rig­ine française passée par Berlin et désor­mais basé·e à Lis­bonne, rassem­ble les passionné·es dans les clubs du monde entier.

De ses débuts parisiens dans l’iconique Pulp, aux fes­ti­vals inter­na­tionaux, en pas­sant par les entre­pôts moites, les super­clubs ibizen­co et les raves under­ground, Jen Car­di­ni a tou­jours con­servé un lien sincère et puis­sant avec les musiques élec­tron­iques, convaincu·e du pou­voir uni­fi­ca­teur et éman­ci­pa­teur de la fête.
À tra­vers ses mix­es, ses labels (Cor­re­spon­dant, DISCHI), ses remix­es et ses pro­duc­tions, Jen Car­di­ni a con­tribué à redéfinir la per­cep­tion de la musique élec­tron­ique française, sans jamais se can­ton­ner à une esthé­tique ou à un genre. La musique a tou­jours été une source d’in­spi­ra­tion pour Car­di­ni et ali­mente sa créa­tiv­ité. Dès que l’on croit l’avoir cerné, iel explore de nou­velles direc­tions, ren­forçant son statut de pio­nnier dis­cret mais influ­ent.
Sa série de soirées Night­club­bing est une véri­ta­ble déc­la­ra­tion d’amour à la cul­ture club et à sa diver­sité : “tout ce qui m’a fait tomber amoureux de la musique élec­tron­ique, et qui m’a aus­si don­né un sen­ti­ment de com­mu­nauté et d’appartenance ».

Jen­nifer Car­di­ni reste fidèle à sa mis­sion : offrir une place aux out­siders de la scène élec­tron­ique à tra­vers ses sets, sa pro­gram­ma­tion et sa con­cep­tion de la fête. Peu importe si le grand pub­lic ne recon­naît jamais pleine­ment sont statut d’icône : l’underground, lui, a déjà couron­né Car­di­ni.