DVOŘÁK
SYMPHONIE DU NOUVEAU MONDE
- 1h30min
- Le Corum / Opéra Berlioz
- Montpellier
- De 10 à 50€ - Tarif B

Les confidences de Schumann, les tourments de Brahms, l’exaltation de Dvořák. Mais aussi un éloge de la transmission.
LE PROGRAMME
JOHANNES BRAHMS 1833-1897
Chant du destin – Schicksalslied pour chœur et orchestre op.54
Poème de Friedrich Hölderlin
ROBERT SCHUMANN 1810-1856
Concerto pour piano et orchestre en la mineur op. 54
Allegro affettuoso
Intermezzo
Allegro vivace
ANTONIN DVOŘÁK 1841-1904
Symphonie n°9 en mi mineur op. 95 « Du Nouveau Monde »
Adagio — Allegro molto
Largo
Molto vivace
Allegro con fuoco
LES ARTISTES
JONATHAN FOURNEL piano
CHŒUR OPÉRA MONTPELLIER
NOËLLE GÉNY cheffe de chœur
ORCHESTRE NATIONAL MONTPELLIER
RODERICK COX direction
Les confidences de Schumann, les tourments de Brahms, l’exaltation de Dvořák. Mais aussi un éloge de la transmission. Voilà un concert fraternel et on ne peut plus varié, dont le virtuose Concerto pour piano de Schumann constitue le cœur. Schumann qui écrivait du jeune Brahms âgé de vingt ans : « Il est venu cet élu, au berceau duquel les grâces et les héros semblent avoir veillé. » Plus tard, Brahms sera à son tour frappé par le talent d’un jeune musicien tchèque, Antonín Dvořák, et le recommandera auprès de son éditeur. Les trois œuvres au programme sont cependant d’une facture fort différente : si le concerto est l’une des rares partitions de Schumann qui respire l’allégresse, le Chant du destin, sur un texte de Hölderlin, mesure les misères de l’homme face aux splendeurs du ciel. Quant à l’ultime symphonie de Dvořák, elle fut composée et créée à New York. Depuis lors, la Symphonie du Nouveau Monde reste l’une des pages les plus applaudies du répertoire symphonique.
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